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inscription juin 2019 l ma me j v s d « avr 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 catégories au fil d'une plume des images une histoire un mot des notes une pensée un blog sommeil troublé annonces contes songes pages photos liens méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires recherche pour : recherchez aussi : - nu plume - neant - poussiers sommeil - gaïa mère terre - virtualité faim de vacances posté le mardi 17 avril 2007 et voilà retour de vacances il faut se replonger dans les cours. c’est malheureusement plus dur à chaque fois. d’autant plus avec l’arrivée des beaux jours et cette étrange manie que les prof ont toujours eut, celle de nous écrouler sous les devoirs à chaque départ et fin de vacances. je sais je ne devrait pas me plaindre c’est plutôt agréable d’aller en cour en tatanes dans un lycée tous fleurit où l’herbe t’invite à t’allonger les doigts de pied en eventail. mais le soucis c’est que dans tous ça on est en cour. certe on s’évadent du mieux possible grâce au montagne semi eneigée de belledonne ou simplement le ciel bleu. mais on aimerait sans doute mieux s’assoie dans un champs à jouer de la musique ou jongler. courage encore un peu de courage, c’est bientôt la fin de l’année. et un à un les professeurs apparaissent devant nos yeux, curieusement ils ne nous avaient point du tout manqué. marre je préfère de loin la fenêtre à la vu du tableau verts. et la vu d’un chat dans l’escalier suffit à me faire rêver, m’insouffler un peu de courage. parce qu’il en faut si peu et tant pour me faire rêver, j’estime que ça va être dur cette fin d’année. et il me faudras un peu plus de temps pour me plonger dans ce bain froid. vive les beaux jours, vivement les vacances, aller un peu de courage. coeur sombre @ 19:18 enregistré dans contes , sommeil troublé 2 commentaires -- vengeance posté le vendredi 6 avril 2007 je n’aurais jamais du aller là bas, maintenant j’en suis conscient. trop tard. il n’y avait que les aboiements pour m’en dissuader. aboiement infernaux, parce que les chien ne seront jamais tous à fait ici, et que ce sont la compagnie préférer du maître des ombre…chiens de l’enfers. une fuite. rien n’a d’importance, je connaît tous ça par cœur mais ont me rejette ont favorise ma fuite. vas t’en est ne revient jamais. je ne suis pas le bienvenu. tant de haine je tombe à croupis, les deux mains dans la boue. pourquoi, tant de sacrifice. je hurle mon désespoir, et je retombe lentement les pieds sur terre, lentement. je n’en reviens pas. mon souffle ne me revient pas, qu’ai-je fais. merci à elle de m’avoir fais redescendre sur terre sans vraiment le vouloir. cependant je savais en fermant l’œil que je ne réchapperais pas à ma malédiction. et c’est tout en sueur que je me redresse se matin. affreux cauchemar. je prie pour que j’aie payé ma dette, j’espère que je suis débarrassé. pardonnez moi. laissez moi tranquille par pitié je n’y retournerais pas. en y entrant j’ai ressentit tant de haine, tant de colère, je n’était pas le bienvenu et pourtant j’y suis rester. quel imbécile je fais. les grand les éternel me guette et m’assassine du regard, les petite quand à elles m’harcèlent et me torture. pardonnez moi par pitié. les éternel sont là, ils se sont sacrifier pour nous punir, et maintenant leurs colère et sans précédents, j’ai peur. l’harmonie est rompue, l’homme a oublié d’être humble, ils ont oublié la mémoire de ce monde. les arbres ne rêvent plus ils font des cauchemar. …et le vent chanta pour les feuilles… mais l’homme ne l’entendit pas !… la mémoire disparaît, elle va nous quitter, le papier va se détruire, les livres vont rejeter leurs contenus, texte, image, l’encre s’écouleras laissant des pages vierges. il est plus tard que vous ne pensez… nous sommes déjà hier. coeur sombre @ 9:52 enregistré dans contes , sommeil troublé pas de commentaire -- les fleur du mal posté le jeudi 5 avril 2007 « l’humanité n’est qu’une fleur éphémère sur l’arbre du temps… tout ce mal, tout ce mal qu’on se donne pour vivre, et puis plus rien. » [olive schreiner] il paraît que je devrait poursuivre ce blog…à quoi bon, plus les articles sont nombreux plus je suis las, je voudrais voir d’autres horizons aller plus loin. tous se que j’écris n’a pas d’importance, tous se que j’écris est éphémère, un peu comme une fleur, qui s’épanouie, le temps de quelques jours est meurt tous doucement. sans doute que mon blog est mort… je ne me sens pas la force d’écrire, je n’en est plus le courage, plus la fierté, plus l’espoir. je voit, je lis autour de moi et mes mots ne prennent aucun sens dans l’immensité de l’art. tant de gens autour de moi écrivent, des merveilleuse choses, des choses étrange, des choses merveilleuse, tellement immense. j’ai l’impression d’être un gamin jouant à la gameboy au milieu de jeune prodige du piano. immergé sous les autres il me faudras cesser de vivre pour vivre à nouveau loin de ci et de ça. j’ai cependant peur de détacher mes pieds du sol. sans doute parceque je sais inlassablement que je retomberais lourdement quoi qu’il arrive, et si cette sensation me fascine elle me fais peur. les fleur de la vie sont belle mes éphémères, elles s’épanouissent et nous offrent leur divine beauté, mais quoi qu’il arrive elles finissent toujours par fanées et mourir, toujours… et pourtant on me dit qu’une fleur fanée et parfois plus belle… je me refuse à le croire…la beauté de la mort. j’ai du mal a distinguer les fleur des mauvaises herbes autour de moi, et un lever de soleil n’y changeras rien… coeur sombre @ 11:56 enregistré dans contes , sommeil troublé un commentaire -- are you free ? posté le dimanche 25 mars 2007 je vous en supplie saisez de me regarder, vos regards me jugent et me détruisent. je ferez tous se que vous voudrais mais cessez de me voir, oublier mon existance s’il le faut. j’ai longtemps cru qu’ils vous suffirait de vous mettre à ma place quelques secondes pour comprendre mais vous ne ferez jamais cet effort, alors c’est à moi d’aller vers vous et de vous parler, histoire que vous puissez voir au delà du silence, loin des mots, et outre mon regard. mais vous ne m’écoutez même pas, mes mots sont pour vous poison, et ampli d’indifference vous vous indignez de se que je suis devenus. j’en suis aujourd’hui, à me demander si vous ne préférez pas me voir ailleurs. pourtant vous continuez à empiéter sur ma vie, avec autant d’incompréhension. oui puisque vous avez toujours marcher sur ma liberté. je ne parle pas ces choses là auquels vous pensez mais simplement à celle que vous faites inconsciemment, ce sont les pires et qui me déchirent et me détruisent. vous pensez que c’est me rendre service mais bien au contraire c’est lutter contre me épanouissement. malgrès ça je continue de progresser grâce à une personne qui ne cesse de me répéter que vous m’aimez même si je n’y croit quasiment plus, je tiens le coup. aujourd’hui ce sont de nouvelles remarques, ce sont des remarques qui blessent que j’ai reçu. je ne dis pas que vous auriez du rien dire ou dire autre choses non bien au contraire je préfère la vérité et la franchise, au moin ça change de l’hypocrisie familiale. mais simplement au moin relativisé et sans doute me montrer que quelque part vous n’approuvier pas mon choix mais que si c’était se que je pensais le mieux pour moi, ils n’avaient pas à le remettre en doute. mais non au lieu de ça des simple critique sincère et douloureuse. alors je m’en vais m’excusez, parcequ’il me semble que je vous doit des excuse à vous deux. oui tous les deux pardonnez moi de ne pas être celui que vous aurez souhaité, désoler de n’avoir pas suivit les chemins de mon frère, vers votre fierté, et votre joie. désoler de vous décevoir chaque jour un peu plus. je croyez que mon bonheur ferait le votre, mais j’avais tord de vouloir suivre mes propres choix. désoler que ce soit elle, que vous n’aimez pas, désoler d’etre malade, et de vous demander tant d’efforts… pardonnez moi… coeur sombre @ 1